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6 décembre Les grands distributeurs comme St. Nicolas connaissent tous le même problème : comment amener le produit en temps voulu et sûrement chez la clientèle ? St. Nicolas peut s’en fier à son âne, son sac et son traîneau, mais l’affaire n’est pas aussi simple pour les autres distributeurs. Coop essaie depuis des années de transférer de plus en plus de marchandises de la route au rail. Aujourd’hui un tiers des transports nationaux s’effectue en train. Et la tendance est à la hausse ! Les véhicules frigorifiques et conteneurs réfrigérants permettent de transporter même des produits frais par train. St. Nicolas apporte aujourd’hui aux enfants sages des friandises. Pour l’acheminement des cacahuètes, oranges et biscuits, il fait confiance aux CFF. Depuis le centre de distribution central, les marchandises sont transportées par camion dans les filiales. L’âne de St. Nicolas respire, car cela lui fait d’autant moins de sachets à transporter. Mais l’environnement aussi apprécie, car le transport par rail au lieu de la route réduit les émissions de CO2. St. Nicolas peut même calculer la somme exacte de tonnes de CO2 ainsi économisées – grâce au calculateur d’EcoTransIt. Un petit exemple de calcul: Env. 50 millions d’enfants de moins de 10 ans vivent en Europe : Si St. Nicolas voulait offrir à chacun de ces enfants une mandarine (env. 100 g) et 50 g de cacahuètes, il devrait d’abord faire amener 50'000'000*150 grammes= 7500 tonnes de marchandises jusqu’à sa maison près du cercle polaire à Kiruna en Laponie en Suède depuis Casalello en Sicile (env. 4500 km) et de là les redistribuer aux enfants. Quel moyen de transport choisira-t-il ? A vous de faire le calcul ! Dans notre concours du jour, nous vous révélerons plus de détails sur le transport de la cannelle, de la vanille, d’amandes etc. |
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